Vos mots tendres et doux, sur ma peau ruissellent, Et font naitre en moi, mon émoi, Ces douces sensations, délicates, Qui quelquefois créent des étincelles, Et me plonge dans un désarroi, Mais vous, si diplomate, Savez trouver les mots adéquats, Et qui conviennent, Mais n’empêchent pas mes larmes diluviennes, Dans ce tourbillon de mots, C’est le cahot, Mes pensées s’envolent, papillonnent, Tournoient dans ma tête, Comme la tempête, Avant un cyclone, Mon cœur est monotone, Il est comme sur une mer agitée, Balloté, chahuté et altéré, De vous et de vos mots, Chut, ne dites rien, souriez moi simplement, Pour le moment. Je ne vous taquinerais plus si souvent (sourire), Vous m’envoutez de plus en plus, Et les manques de vous sont bien présents, Alors SVP, prenez votre plus belle plume, Et décrivez-moi, vos pensées, pour combler votre absence,